Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" L'ouvrage du Père Romul Joantä, prêtre roumain, enseignant à l'Institut Orthodoxe Saint-Serge de Paris, nous fait pressentir à la fois l'âme d'un...
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Livré chez vous entre le 27 septembre et le 1 octobre
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Résumé
" L'ouvrage du Père Romul Joantä, prêtre roumain, enseignant à l'Institut Orthodoxe Saint-Serge de Paris, nous fait pressentir à la fois l'âme d'un peuple et l'âme d'une Eglise. Le peuple est celui de Roumanie ; l'Eglise, cette Orthodoxie dont l'âme est en effet l'hésychasme, un mot qui vient du grec hésychia, dont le meilleur équivalent en Occident serait sans doute la " paix " bénédictine.
" Les pays roumains ont été, et restent, un prodigieux carrefour de cultures, au contact de l'Occident et de l'Orient européens puisque la Roumanie est à la fois orthodoxe et latine. Un art profondément chrétien s'y est développé, à la fois traditionnel et novateur, au moment où les grandes dissociations s'accomplissaient en Occident, et les pays roumains ont en fait connu une culture d'inspiration monastique.
" La tradition hésychaste, en effet, a agi comme un ferment dans toute la culture roumaine : elle marque l'iconographie des monastères, avec des visages de Christ qui unissent noblesse et tendresse. Elle marque la politique des princes, elle explique qu'un prince moldave ait financé l'édition de la Philocalie grecque en 1782 ; elle nourrit la gigantesque synthèse théologique et spirituelle du plus grand théologien orthodoxe d'aujourd'hui, le P. Dumitru Staniloae ; elle constitue encore actuellement la haute inspiration de poètes roumains, dont les recueils, à la manière des anciens monastères, inscrivent la terre roumaine dans les cieux. " Olivier Clément.