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"Tout n'a pas été simple dans mon parcours mais je ne regrette rien. Ni ma folle jeunesse sur les bancs de l'extrême gauche, ni le double jeu que m'a fait jouer la DST, encore moins mes trente années passées en police judiciaire à infiltrer les réseaux de trafiquants de drogue, à écouter les criminels, à servir comme officier de liaison en Turquie et en Bulgarie. J'aime la France mais l'Iran me colle à la peau.
Cette double identité, qui a fait ma force pour gruger un temps les services irakiens et iraniens, m'a aussi désigné comme une cible pour ces mêmes services. Dans le jargon, on dit "se faire tamponner". ".