Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Lazarillo de Tormès fait le récit de ses aventures et mésaventures, à l'instar du célèbre aïeul qu'il s'est choisi. Le nouveau Lazarillo, pauvre...
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Livré chez vous entre le 25 septembre et le 28 septembre
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Résumé
Lazarillo de Tormès fait le récit de ses aventures et mésaventures, à l'instar du célèbre aïeul qu'il s'est choisi. Le nouveau Lazarillo, pauvre nourrisson abandonné par sa mère, est recueilli par des chevriers. Il leur fausse compagnie dès l'âge de huit ans, se met au service de trois sacripants, voleurs et musiciens ambulants, s'attache ensuite à un mendiant-philosophe, puis à un bon hidalgo, rêveur et poète ; ses maîtres sont tous plus sordides et inquiétants les uns que les autres, et il finit valet d'une horrible sorcière, jusqu'au jour où la Garde civile l'enrôle par surprise dans un régiment de Madrid...
Après le célèbre Lazarillo de Tormès, précurseur et modèle du roman picaresque, il fallait un bien grand talent - et, disons-le, une certaine audace - pour écrire un Lazarillo moderne, à l'image de l'universel chef-d'oeuvre espagnol du XVIe siècle. Camilo José Cela a réussi cette gageure. Les tours pendables du picaro sont très divertissants, et il n'a rien à envier à son illustre prédécesseur en malice, en cynisme et manque de scrupules avec, parfois, une pointe de sentimentalisme et de générosité.
Après le célèbre Lazarillo de Tormès, précurseur et modèle du roman picaresque, il fallait un bien grand talent et une certaine audace pour écrire un Lazarillo moderne, à l'image de l'universel chef-d'oeuvre espagnol du XVI ? siècle. Camilo José Cela a réussi cette gageure.