Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Aristote élabore une conception originale et subtile de l'unité de l'âme et du corps. L'âme du vivant est à son corps ce qu'es la forme à la matière...
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Livré chez vous entre le 25 septembre et le 28 septembre
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Résumé
Aristote élabore une conception originale et subtile de l'unité de l'âme et du corps. L'âme du vivant est à son corps ce qu'es la forme à la matière : elle en est le principe ou le programme interne d'organisation et de développement. Leur unité est donc substantielle sans pour autant qu'ils se confondent. Aristote ouvre ainsi une voie singulière pour dépasser l'alternative du dualisme et du monisme. L'unité du composé d'âme et de corps est, selon lui, un fait indiscutable et qui, en tant que tel, n'appelle pas de justification ; mais comment concevoir l'unité du vivant s'il est fait de deux principes, l'un corporel, l'autre incorporel ? La solution du paradoxe consiste à refuser une représentation statique ou purement morphologique de l'être animé selon laquelle la vie serait la superposition ou l'addition inexplicable de deux entités distinctes. Depuis les mouvements organiques jusqu'aux activités les plus élaborées, comme les actions morales, la vie consiste toujours en une synthèse de mouvements tout à la fois psychiques et corporels. L'unité du vivant résulte de la cohérence de ses activités. Pour le comprendre il convient d'analyser la contribution essentielle, mais souvent négligée, que les petits traités d'histoire naturelle et le traité du mouvement des animaux apportent à la problématique du traité de l'âme. C'est ce que ce livre entreprend de faire en tissant le lien qui rattache la matière à l'action et, au-delà, la philosophie du vivant à la philosophie pratique. Il apporte une contribution décisive non seulement à la pensée d'Aristote mais au problème général des rapports de l'âme et du corps.