Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
En un temps où le marché n'était pas encore donné comme équivalent à la démocratie et substitut à la souveraineté, d'où qu'elle vienne, les...
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Livré chez vous entre le 1 octobre et le 2 octobre
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Résumé
En un temps où le marché n'était pas encore donné comme équivalent à la démocratie et substitut à la souveraineté, d'où qu'elle vienne, les écrivains économistes donnaient à voir le contenu philanthropique de l'industrie, en son sens large d'alors : production de richesses. La démocratie était comprise par les politiques, républicains principalement, comme libération du peuple, être de raison inventé pour la circonstance. Tocqueville dès 1840 avait mis en garde contre un nouveau despotisme, celui du tyran ou celui de la majorité. En février 1848, le gouvernement de l'Etat parut un temps à la portée des demandes pressantes du peuple ouvrier. Les journées de juin marquèrent dans les faits et d'abord dans les chairs que par démocratie, il fallait entendre remise de l'autorité politique à des représentants, non à des mandataires obligés. La suite tint dans la théorisation du gouvernement représentatif, de Stuart Mill en quête d'un système assurant la prééminence des intérêts à Schumpeter convaincu de l'inanité de la volonté générale, et de lui à la social science américaine, qui distingue ceux qui comptent et peuvent à l'occasion transgresser les règles.