En cours de chargement...
Née en 1957 dans l'Oklahoma, Meg Gardiner est diplômée de droit de l'Université deStanford, en Californie. Après avoir travaillé en entreprise, puis enseigné le droit, elle a déménagé près de Londres avec son mari et leurs trois enfants. Le dirty secrets club est le premier roman de sa série mettant en scène l'héroïne Jo Beckett. Jo Beckett est " psychiatre post mortem ". Son rôle n'est pas d'autopsier les corps mais de disséquer la vie des défunts pour déterminer les causes de leur décès.
Elle est appelée par le lieutenant Tang le jour où Callie Harding, adjointe au procureur fédéral, trouve la mort en jetant sa voiture d'un pont d'autoroute. Tout semble indiquer un suicide. Pourtant, un détail troublant retient leur attention : le mot " dirty " est inscrit au rouge à lèvres sur la cuisse de la victime. Et puis, on se suicide rarement avec une passagère à ses côtés ! Très vite, Jo Beckett est mise sur la piste du mystérieux club fondé par Callie Harding, baptisé dirty secrets club.
Un confessionnal virtuel pour personnalités en mal d'excitation et de rédemption, venues expier des actes socialement inavouables en relevant des défis indécents. Rien de très grave jusqu'à ce qu'une " séance " tourne mal... Alors que l'enquête progresse, les meurtres continuent. Quelqu'un cherche à éliminer les adeptes un à un. Et ce quelqu'un voit d'un très mauvais oeil les découvertes de Jo. Sans doute la raison de ce billet qu'elle reçoit.
Quelques mots seulement. Implacables. Vous avez tué voter mari. Bienvenue au dirty secrets club.
Callie Harding, adjointe au procureur fédéral, s'est apparemment suicidée en jetant sa voiture d'un pont, entrainant avec elle la mort de trois personnes.
Cependant, quelques éléments inquiètent les enquêteurs : des affaires similaires, la passagère de Callie, un mot "dirty" écrit sur la jambe de la victime... Ces détails poussent les enquêteurs à demander l'aide de Jo Beckett, psychiatre post-mortem. Elle doit analyser la vie des défunts d'un point de vue psychologique. Elle n'a que 48 heures avant un prochain meurtre-suicide. Alors débute une course contre la montre...
Un rythme soutenu et angoissant.