Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Chacun se souvient de l’affaire du sabotage d’une caténaire de la SNCF, en 2008, revendiqué par un groupuscule révolutionnaire allemand ? Et le...
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Livré chez vous entre le 27 septembre et le 1 octobre
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Résumé
Chacun se souvient de l’affaire du sabotage d’une caténaire de la SNCF, en 2008, revendiqué par un groupuscule révolutionnaire allemand ? Et le fiasco judiciaire qui s’en est suivi. Jean-Marie Gleize écrit en 17 chapitres, un index, une chronologie, un plan, quatre photos, des descriptions, une sorte de dossier d’enquête judiciaire d’où se dégage un récit très lisible de cet acte de sabotage. Le titre, puis la dédicace : « Tarnac pour Julien Coupat et ses camarades » placent immédiatement le lecteur dans un présent à la fois contemporain et politique. Ils s’inscrivent en même temps dans l’étrange destinée de cette affaire d’état, rendue littéraire dès le début, par la découverte du livre L’insurrection au domicile des présumés terroristes par les forces de l’ordre. Comment décrire, comment écrire l’événement révolutionnaire aujourd’hui ? Tarnac est une réponse à cette question, à la fois dans sa qualité de document inscrit dans l’histoire révolutionnaire (qui est aussi celle de la poésie, acte de résistance) et dans les particularités de son écriture : fragmentation du récit, assemblage de genres hétéroclites, implosion de l’écriture.