Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Humainement, Xieng-Khouang n'offre aucune prise, semblait-il aux tornades du cœur et de la chair, avec sa population globale et toute masculine de neuf...
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Livré chez vous entre le 1 octobre et le 5 octobre
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Résumé
Humainement, Xieng-Khouang n'offre aucune prise, semblait-il aux tornades du cœur et de la chair, avec sa population globale et toute masculine de neuf Français. Raffin ne rentrait pas ? c'est que point n'était de se refaire, pour les heureux broussards du Laos, vous savez : le climat de France. Raffin Su-su est donc établi dans ce poste français du Haut-Laos et finit par y fonder une famille à la mode laotienne. Mais lors d'un retour en France après une longue absence, au lieu du bref séjour qu'il envisageait pour "se remettre", il y sera enterré su-su... ! Les deux syllabes qui, dans la langue laotienne répondent à tout et un peu plus encore... Sao van Di est un roman qui raconte l'amour dans la cité de Luang Prabang. Une fresque des comportements et des mentalités populaires laotiennes à travers l'histoire rapproche la belle Sao van Di du jeune Kao Kome Sène, le joueur de khèn qui lui déclare son amour par des couplets poétiques, le soir à la pagode, le visage dissimulé par un tissu de coton tendu entre les groupes de pou saos aux cheveux parés de fleurs qui répondent effrontément aux déclarations des porc bans.