Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Cette descente aux enfers intitulée Quand tu vas chez les femmes (et Nietzsche ajoutait : n'oublie pas ton fouet), saute si brutalement de l'horreur...
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" Cette descente aux enfers intitulée Quand tu vas chez les femmes (et Nietzsche ajoutait : n'oublie pas ton fouet), saute si brutalement de l'horreur à la dérision, de l'avilissement à la quête de l'absolu, qu'on en demeure étourdi, sonné comme un boxeur ". Gabrielle Rolin, Le Monde
" Un texte où le lecteur se sent à la fois impliqué et renié, où la phrase, les mots, la poésie, lui crachent à la figure en même temps qu'ils l'auréolent de sa condition humaine, un texte que beaucoup trouveront inadmissible parce qu'ils s'y sentiront dévoilés et rejetés ". Jean-Jacques Brochier, Le Magazine Littéraire.
" Mais elle a aussi compris que le domaine des jeux du corps est aussi celui d'un jeu magnifique avec les mots. Et elle paraphe son ouvrage d'un trait éblouissant : il n'y a plus que le plaisir à chercher de toutes ses forces le plaisir... il y a quelque chose que d'autres appelleraient peut-être Dieu. ", Claire Gallois, Le Figaro.