Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Un hôtel à Genève. Des clients de passage, dont on ne retient qu'une impression fugace, une séquence de faits et gestes. Un vieux professeur aveugle...
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Un hôtel à Genève. Des clients de passage, dont on ne retient qu'une impression fugace, une séquence de faits et gestes. Un vieux professeur aveugle qui disparaît mystérieusement en laissant des extraits de textes anciens en guise de testament. Un écrivain qui s'efforce de donner sens à cette histoire. L'enquête nous entraîne à tâtons dans la nuit des temps, aux sources de notre civilisation, à l'époque où Genève était la capitale d'un royaume burgonde, où des légions oubliées défendaient les frontières d'un empire fantôme. Le récit peu à peu prend forme à partir de liens invisibles qu'on tisse entre des points de lumière dans l'obscurité, comme une constellation.
Le premier roman de Frédéric Lamoth, La Mort digne, a paru en 2003 chez Bernard Campiche. Il a été suivi, en 2004, des Sirènes de Budapest, traduit en hongrois.