Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
La première moitié du deuxième tome des notes journalières de Fujiwara no Sukefusa couvre la fin de l'année 1040, période chargée en événements...
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Résumé
La première moitié du deuxième tome des notes journalières de Fujiwara no Sukefusa couvre la fin de l'année 1040, période chargée en événements malheureux, effondrement du sanctuaire de la divinité Toyo.uke à Ise, incendie du palais et perte du miroir sacré. L'empereur fut troublé par ces désastres qu'il interprétait comme la preuve que ses divinités ancestrales étaient irritées et lui retiraient leur protection. Cette partie des notes journalières est donc intéressante pour ce qu'elle nous révèle des croyances de l'empereur et de ses relations avec ses divinités, en un moment où les précautions à prendre contre les impuretés et l'abondance des célébrations du culte national l'obligent à relativement délaisser celles du bouddhisme. A l'exception des deux lunes du début de 1041, la deuxième moitié du volume n'est plus composée que d'extraits, souvent assez longs et suivis, relatifs à des événements tels que changement du nom de l'ère, majorité du prince héritier, banquet donné par un ministre nouvelle ment nommé, célébrations bouddhiques pour l'inauguration de bâtiments au Kôfukuji et au Hôjôji, ou services pour des morts. Sukefusa alors n'est plus chef à la Chancellerie privée, sa carrière stagne et il garde donc des raisons d'exhaler des plaintes et de critiquer ses contemporains.