Le salaire de la peur - Poche

Georges Arnaud

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Georges Arnaud - Le salaire de la peur.
Ils ont été pris au piège de ce port sordide du littoral sud-américain, dans un décor de fin du monde. Pour ces vagabonds des tropiques, aventuriers... Lire la suite
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Résumé

Ils ont été pris au piège de ce port sordide du littoral sud-américain, dans un décor de fin du monde. Pour ces vagabonds des tropiques, aventuriers faméliques, criminels, il ne reste plus qu'à mourir sur place ou récolter quelques dollars pour fuir cet enfer. Quitte à y laisser leur peau, un Français et trois autres desperados acceptent une mission suicide : convoyer, sur des pistes impraticables, un camion hors d'usage chargé de nitroglycérine. Un camion qui prend des allures de destin. Commence alors une épopée de l'angoisse pure et de l'absurde...

Caractéristiques

  • Date de parution
    04/12/2006
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    2-266-12859-0
  • EAN
    9782266128599
  • Format
    Poche
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    184 pages
  • Poids
    0.11 Kg
  • Dimensions
    10,6 cm × 17,6 cm × 1,1 cm

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À propos de l'auteur

Biographie de Georges Arnaud

De son vrai nom Henri Girard, Georges Arnaud est né à Montpellier en 1918 et mort en 1987. Ayant rejoint les forces combattantes au début de la Seconde Guerre mondiale, il est fait prisonnier mais parvient à s'évader. Après la guerre, alors que ses diplômes le destinent à la carrière juridique, il choisit de s'exiler en Amérique latine juste après le procès retentissant qui suivit l'assassinat de son père et où il fut innocenté. Établi là-bas jusqu'en 1949, il tire de ce séjour déterminant trois grands romans, Le salaire de la peur (1949), Le voyage du mauvais larron (1946-1948), Lumière de soufre (1952), ainsi qu'un recueil de nouvelles La plus grande pente (1961). Aventurier-écrivain, Georges Arnaud n'a jamais manqué de se faire le porte-parole des opprimés, notamment dans ses reportages : Prisons (1953), et Indiens pas morts (1956), ou encore dans un pamphlet dénonçant les atrocités commise pendant la guerre d'Algérie, Pour Djamila Bouhired (1958). Chroniques du crime et de l'innocence (1982), un de ses derniers titres, résume bien les préoccupations d'une oeuvre résolument combative.

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