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Dans la Buenos Aires des années 1950, à l'ombre de la dictature, Santiago, un jeune provincial réparateur de machines à écrire, se retrouve par hasard responsable de la rubrique ésotérique du journal où il travaille et informateur du ministère de l'Occulte. Malgré son scepticisme à l'égard du surnaturel, Santiago assiste à une rencontre de spécialistes des superstitions, y est témoin d'un meurtre et mis en contact avec "les antiquaires", des êtres extraordinaires qui vivent dans la pénombre entourés d'objets anciens, vendent de vieux livres et sont la proie d'une soif primordiale, celle du sang.
Le hasard ou le destin, mais surtout un étrange amour, puissant et troublant, amèneront Santiago à ne plus résister à cette soif et il devra alors chercher à survivre, peut-être pour l'éternité, dans un monde hostile. Avec La soif primordiale, Pablo de Santis s'approprie le mythe surexploité du vampire et parvient à lui redonner ses lettres de noblesse.
vampires dans le Buenos Aires des années 50
Nous sommes dans le Buenos Aires des années 50. Un jeune homme est réparateur de machines à écrire, comme son oncle, il devient par un pur hasard, journaliste dans un journal de la ville et est chargé des mots croisés et de l’étude des sciences occultes. Il va alors rencontrer les antiquaires. Ce groupe est une sorte d’associations de scientifiques. Il va tomber amoureux de la fille d’un des membres. En fin de compte, les antiquaires sont des vampires qui, immortels, doivent pour vivre assouvir leur soif primordiale.
Je ne suis pas une lectrice des livres de vampires, mais celui-ci est à part.
L’auteur nous décrit la vie de ce jeune homme, sa quête d’amour. Il est aussi un bel hommage à la lecture car il va être embauché par un étrange bouquiniste et va découvrir de belles bibliothèques.
Mystères dans les rues de Buenos Aires.
Un livre plaisant et à nouveau, la découverte d’un auteur argentin que je vais m’empresser de continuer à lire.