Une nuit, Charles BERTIN rêve de Thérèse-Augustine. Cette apparition de sa grand-mère, des années après son décès, lui donne envie d'écrire au sujet de cette petite dame qui enchantait ses étés lorsqu'il était enfant.
Une maison au fond d'un jardin où s'ébattent les merles et les grives, où poussent les mûriers, et sur le pas de la porte, une femme tendre et vive, sa grand-mère Thérèse-Augustine. Voilà comment commençaient les deux mois d'été que passait le petit Charles dans la ville de Bruges. Si le jardin était un territoire de découvertes sans fin, si les jours
de pluie, le grenier de la maison dévoilait ses trésors, c'est avec Thérèse-Augustine que Charles vivait ses plus belles aventures. Ensemble, ils découvrent Jules Verne, ils explorent Bruges, ils partent pour la côte à vélo. Frustrée d'avoir été retirée de l'école très jeune par un père qui privilégiait l'avenir de ses fils, Thérèse-Augustine, toujours avide d'apprendre, entraîne son petit-fils vers les contrées du savoir, de la connaissance et l'amour de la vie, avec pour seul précepte que si l'on croit suffisamment en ses rêves, ils finissent par se réaliser.
A chaque page, on ressent la tendresse, l'amour, la complicité qui unissaient la vieille dame et le petit garçon. Avec beaucoup de poésie et toute la force de son affection, Charles BERTIN rend un vibrant hommage aux souvenirs de l'enfance, à une grand-mère exceptionnelle et à une ville de toute beauté.
Souvenirs d'enfance
Une nuit, Charles BERTIN rêve de Thérèse-Augustine. Cette apparition de sa grand-mère, des années après son décès, lui donne envie d'écrire au sujet de cette petite dame qui enchantait ses étés lorsqu'il était enfant.
Une maison au fond d'un jardin où s'ébattent les merles et les grives, où poussent les mûriers, et sur le pas de la porte, une femme tendre et vive, sa grand-mère Thérèse-Augustine. Voilà comment commençaient les deux mois d'été que passait le petit Charles dans la ville de Bruges. Si le jardin était un territoire de découvertes sans fin, si les jours de pluie, le grenier de la maison dévoilait ses trésors, c'est avec Thérèse-Augustine que Charles vivait ses plus belles aventures. Ensemble, ils découvrent Jules Verne, ils explorent Bruges, ils partent pour la côte à vélo. Frustrée d'avoir été retirée de l'école très jeune par un père qui privilégiait l'avenir de ses fils, Thérèse-Augustine, toujours avide d'apprendre, entraîne son petit-fils vers les contrées du savoir, de la connaissance et l'amour de la vie, avec pour seul précepte que si l'on croit suffisamment en ses rêves, ils finissent par se réaliser.
A chaque page, on ressent la tendresse, l'amour, la complicité qui unissaient la vieille dame et le petit garçon. Avec beaucoup de poésie et toute la force de son affection, Charles BERTIN rend un vibrant hommage aux souvenirs de l'enfance, à une grand-mère exceptionnelle et à une ville de toute beauté.