Le roman s’ouvre classiquement sur le crime odieux d’un vieil homme à qui son meurtrier a quasiment supprimé le visage avec une rage et une haine rares. Près du corps sa petite fille Catherine une enfant de six ou sept ans que la découverte a rendu mutique et qui garde enfermés dans sa main, deux petits objets comme si sa vie en dépendait.
Nous sommes à Furth en Basse Autriche une petite ville comme les autres avec son lac, son hôpital et son église, une ville figée, repliée sur elle-même.
Je suis très discrète sur l’intrigue que je vous laisse découvrir.
Ce livre est
une étude sociale autant qu’un polar, le récit est construit très intelligemment, il fait par petites touches monter un sentiment d’inquiétude. Un critique allemand le compare à « des chocolats empoisonnés ». Un portrait en profondeur et sans concession de la société autrichienne qui nous dit qu’il ne faut pas se fier au charme des paysages de montagne.
Ne jamais se fier aux paysages
Le roman s’ouvre classiquement sur le crime odieux d’un vieil homme à qui son meurtrier a quasiment supprimé le visage avec une rage et une haine rares. Près du corps sa petite fille Catherine une enfant de six ou sept ans que la découverte a rendu mutique et qui garde enfermés dans sa main, deux petits objets comme si sa vie en dépendait.
Nous sommes à Furth en Basse Autriche une petite ville comme les autres avec son lac, son hôpital et son église, une ville figée, repliée sur elle-même.
Je suis très discrète sur l’intrigue que je vous laisse découvrir.
Ce livre est une étude sociale autant qu’un polar, le récit est construit très intelligemment, il fait par petites touches monter un sentiment d’inquiétude. Un critique allemand le compare à « des chocolats empoisonnés ». Un portrait en profondeur et sans concession de la société autrichienne qui nous dit qu’il ne faut pas se fier au charme des paysages de montagne.