Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Une nuit, toute la ville s'est embrasée. Une immense coulée humaine s'est répandue dans les rues, sur les places. Des feux ont été allumés un...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 27 septembre et le 1 octobre
En librairie
Résumé
" Une nuit, toute la ville s'est embrasée. Une immense coulée humaine s'est répandue dans les rues, sur les places. Des feux ont été allumés un peu partout mais les flammes les plus hautes sortent de la Bourse. Alors se déchaîne une sarabande endiablée. Le grand interdit a été transgressé et Paris s'étourdit dans une immense fête païenne ; tout se mêle et s'échange. il n'est pas jusqu'à l'identité de chacun qui ne vacille au cours de ce potlatch magnifique, où chacun se donne à chacun et la ville à tous. "
L'ordinaire n'existait plus est le roman de 68, des années qui l'ont précédé, des années qui l'ont suivi. C'est aussi le portrait d'une figure - celle du Professeur - dont l'autorité fascina tous ceux que la révolution fascinait, jusqu'à la violence. Mais à cette détermination de changer le monde s'opposait, dans le même mouvement, celle de changer la vie.
Ce roman est aussi une enquête, une histoire de transmission et d'amour, une éducation sentimentale. Ce qui unit Béatrice et le narrateur, c'est l'indestructibilité de ces années amoureuses.