Parce qu'Adrien Goetz est historien de l'art, j'espérais qu'il me donnerait envie de découvrir des endroits de Venise que je ne connaissais pas ou qu'il me les ferait voir différemment. Ce ne fut pas le cas. Je n'ai pas trouvé son personnage féminin très sympathique, ni même très crédible et l'intrigue policière m'a paru sans intérêt. J'ai appris que les coques qu'on mange à Venise viennent souvent de l'étranger, que l'encre de seiche pêchée dans la lagune est polluée (heureusement que je l'ai lu après avoir mangé mes deux plats de pâtes à l'encre de seiche, j'aime trop ça
pour m'en passer). J'ai cependant apprécié les références aux auteurs qui se sont penchés sur Venise et ai appris que Dona Leon refuse d'être traduite en italien.
j'attendais mieux
L'enquête a du mal à démarrer. les pièces du puzzle s'assemblent seulement dans la seconde partie du livre. Trop de détails sur Venise et sur le patrimoine. On se perd dans les descriptions. Cette suite de l'intrigue à l'anglaise n'est pas aussi réussie et manque de profondeur.