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Ce livre présente l'ethique : économie comme tout ce qui traite
du bien et du mal dans les valeurs et les comportements des
individus ou communautés. Toutefois, il insiste sur les
relations entre les hommes face aux biens et services d'une
part, et les rapports entre les hommes eux-mêmes regroupés en
associations, clubs, et mutuelles de développement d'autre
part. C'est en ce sens qu'il convient de rappeler qu'avant André
Marshall, en économie, il était question méthodologiquement
d'une approche restrictive des faits économiques en l'absence
de l'usage de la notion de sous-développement.
C'est après
André Marshall, jusqu'à François Perroux, et avec la notion de
développement et de sous-développement, qu'on parle d'une
approche globale, intégrant aussi bien les pays sous-
développés que les pays développés. C'est ce qui, du point de
vue éthique, était qualifié de bien (moralité) et mal
(amoralité), suivant le contexte restrictif des faits économiques
ou le contexte global d'approche des faits économiques.
Ce
cours d'éthique et développement, tel que présenté, nécessite
la prise en compte des agrégats économiques tels que le PIB,
le RNB et plus précisément les techniques de la comptabilité
nationale telles que : le T.E.S. ou tableau d'entrées-sorties, la
mondialisation de l'économie, l'échange international, le
change et la balance des paiements. Ce qui aligne les
programmes de licence aux programmes de BTS, suivant le
système L.M.D.
