Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Sous ce titre sont réunies, à l'occasion du tricentenaire de sa mort, les vingt-quatre lettres que Jean Racine écrivit de novembre 1661 à juillet...
Lire la suite
Sous ce titre sont réunies, à l'occasion du tricentenaire de sa mort, les vingt-quatre lettres que Jean Racine écrivit de novembre 1661 à juillet 1662, à sa famille et à ses amis - parmi lesquels Jean de La Fontaine - alors qu'il séjournait à Uzès et tentait avec l'appui de son oncle, official de l'évêque, d'entrer dans la carrière ecclésiastique. Les lettres relatent le voyage depuis Paris, décrivent la petite ville. Mais, surtout, elles forment le récit animé, tour à tour gai et enthousiaste, puis plein d'amère déception lorsque ses efforts échouent, de sa tentative pour se forger un avenir. Il n'est pas ordonné prêtre et, retourné à Paris à la fin de l'année 1662 ou au début de 1663, il obtient une pension du roi et écrit sa première tragédie : La Thébaïde. Dans sa préface, Rose Vincent retrace les événements marquants de cet épisode de la jeunesse de Racine. Avec une sympathie non dissimulée, elle suit l'évolution tant psychologique que littéraire du jeune poète tout au long de cette année qui a préludé de manière décisive à son engagement définitif dans la carrière des lettres.