Ce deuxième volume qui fait donc suite à Nightwatch, les sentinelles de la nuit, m’a enthousiasmée tout autant que le premier. On y retrouve tout l’univers imaginé par Loukianenko, l’inquiétante Pénombre, les Clairs et les Sombres, des personnages sans cesse habités par le doute. On y découvre aussi une peinture de la société russe, des restes de la Guerre Froide, agrémentée d’un humour subtil. L’intrigue bien menée prend des allures de polars, l’auteur nous prend par la main le long d’un chemin qui n’est pas forcément le bon, et nous conduit où il veut. L’univers
gothique décrit par Loukianenko reste ancré dans la réalité et dans notre époque. Comme pour le premier volume le roman est scindé en 3 parties ou histoires, dont le lien n’est pas évident à première vue, jusqu’à ce que l’auteur consente à renouer les fils. Je suis cliente à 100% et j’attends avec impatience la sortie de Daywatch au cinéma, même si c’est largement adapté, et surtout le troisième volume, Dusk watch (qui finalement ne serait pas le dernier).
5/5
Ce deuxième volume qui fait donc suite à Nightwatch, les sentinelles de la nuit, m’a enthousiasmée tout autant que le premier. On y retrouve tout l’univers imaginé par Loukianenko, l’inquiétante Pénombre, les Clairs et les Sombres, des personnages sans cesse habités par le doute. On y découvre aussi une peinture de la société russe, des restes de la Guerre Froide, agrémentée d’un humour subtil. L’intrigue bien menée prend des allures de polars, l’auteur nous prend par la main le long d’un chemin qui n’est pas forcément le bon, et nous conduit où il veut. L’univers gothique décrit par Loukianenko reste ancré dans la réalité et dans notre époque. Comme pour le premier volume le roman est scindé en 3 parties ou histoires, dont le lien n’est pas évident à première vue, jusqu’à ce que l’auteur consente à renouer les fils. Je suis cliente à 100% et j’attends avec impatience la sortie de Daywatch au cinéma, même si c’est largement adapté, et surtout le troisième volume, Dusk watch (qui finalement ne serait pas le dernier).