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Ce furent des élections fortement controversées. Dans les différents quartiers généraux des deux favoris, les militants revendiquaient la victoire. Grâce à la médiation du Président de l'Assemblée Nationale et de la Fédération Nationale de la Formule 1, le calme revint et les résultats une fois proclamés furent acceptés de tous. C'était donc dans un tel climat de méfiance et d'incertitude que les nouveaux dirigeants des Pattelourdes prêtèrent serment et prirent fonction.
Ils demandèrent une trêve sociale d'une année. Cela leur fut accordée. A l'université, les choses avaient radicalement changé. La Force Extra-Scolaire et Estudiantine des Pattelourdes (FESEP) régnait en unique maître. Les autres syndicats s'étaient inféodés à celui-ci de gré ou de force... C'était la pensée unique sur le campus.