Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Balzac et la (re)construction (sociale et discursive) des identités. Tel est le sujet d'un séminaire qui s'est tenu à Paris 7-Denis Diderot pendant...
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Livré chez vous entre le 1 octobre et le 2 octobre
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Résumé
Balzac et la (re)construction (sociale et discursive) des identités. Tel est le sujet d'un séminaire qui s'est tenu à Paris 7-Denis Diderot pendant deux ans. Ce sont les exposés faits à ce séminaire que nous publions ici, sous un titre rénové, qui annonce la perspective d'ensemble. Ce Balzac dont on nous murmure qu'il fut le daguerréotypeur d'un monde stable, et stabilisé pour longtemps par sa mise en panorama, ne fut-il pas, tout au contraire, un des premiers témoins des scissions du moi, et plus encore l'explorateur dantesque d'un univers social devenant opaque, soumis au travail de la dédifférenciation, en crise ? Dans une première partie, sont rassemblés des exposés transversaux qui traitent des conditions et mutations de l'identité romanesque balzacienne. Viennent ensuite des études monographiques qui analysent le traitement que le roman balzacien fait subir à certaines identités canoniques : soit définies selon les découpages de la " littérature panoramique " (le portier, la femme de province, le journaliste), soit concernant des personnages éminemment balzaciens (le débiteur, le criminel, l'inspiratrice), soit traitant d'identités moins marquées par la taxinomie sociale : le bavard et, pour finir, le lecteur.