Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Des personnages aux patronymes déroutants (Duboeuf, Duroc, Dutronc, Dural, Ducid...). Un mystérieux assassin, Machin, qui, bien que décédé, dégomme...
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Livré chez vous entre le 25 septembre et le 28 septembre
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Résumé
Des personnages aux patronymes déroutants (Duboeuf, Duroc, Dutronc, Dural, Ducid...). Un mystérieux assassin, Machin, qui, bien que décédé, dégomme ses victimes au 24 x 36 (appareil photos), tandis que l'inspecteur Duquel boit des Alka-Seltzer à la chantilly, dépasse par une série de meurtres qui le devancent à chaque page... Sans compter les bizarreries typographiques : pages numérotées à l'envers, chapitres qui redescendent au milieu du livre ! Tout semble fait pour égarer le lecteur... Mais
est-ce vraiment un hasard ? Publié en 1979, ce " polar " inclassable figure dans la bibliothèque idéale de nombreux critiques du genre : " Premier polar potentiel ", Michel Lebrun (Almanach du Crime). "Exercice de voltige mené tambour battant", Jacques Baudou (Enigmatika). "Le livre se place sous une double bannière : celle de Lewis Carroll et celle de l'Oulipo", François Guérif (Polar). Cet " hétéroclite du roman policier ", pour reprendre les termes de Roland Sapiens (Gang), fut couronné, lors de sa première publication, par le Prix de l'Autosatisfaction. Comme l'exprime avec justesse le proverbe hurlbarbien : "Mieux vaut rire avec les fous que mourir de fou rire."