La légende du mont Ararat - Grand Format

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Yachar Kemal - La légende du mont Ararat.
Ainsi parle la légende : chaque année, quand le printemps s'éveille sur l'Ararat où a échoué l'Arche de Noé, les bergers viennent dès l'aube au... Lire la suite
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Résumé

Ainsi parle la légende : chaque année, quand le printemps s'éveille sur l'Ararat où a échoué l'Arche de Noé, les bergers viennent dès l'aube au bord du lac de Kup et jouent de la flûte, pour célébrer le Mont. Au coucher du Soleil, un mystérieux oiseau blanc vient par trois fois toucher l'eau de son aile, et disparaît dans le ciel. Alors les bergers se retirent. Et voici le roman, tel qu'il aurait fondé la légende : un matin, un cheval blanc apparaît devant la maison du berger Ahmet. Par trois fois, Ahmet éloigne le cheval de la région d'Ararat, et le cheval revient. Ainsi en est-il des dons du Ciel, selon la tradition. Ahmet refuse donc de restituer le cheval à son propriétaire, le cruel pacha ottoman. Capturé, jeté en prison, Ahmet sera mis à mort si le cheval ne revient pas. L'amour fou qu'éprouvent l'un pour l'autre Ahmet et Gulbahar la Souriante, une des filles du pacha, l'amour fou qu'éprouve secrètement le geôlier Mémo pour Gulbahar et la complicité de toute la population décideront du sort des amants. Leur histoire s'achèvera sur le Mont Ararat.

Caractéristiques

  • Date de parution
    05/05/1998
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    2-07-074604-6
  • EAN
    9782070746040
  • Format
    Grand Format
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    144 pages
  • Poids
    0.185 Kg
  • Dimensions
    14,0 cm × 20,5 cm × 1,1 cm

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À propos de l'auteur

Biographie de Yachar Kemal

Yachar Kemal est né en 1923 dans un village de Cilicie, de parents venus de l'est de la Turquie. Après avoir exercé divers métiers : ouvrier d'usine, ouvrier agricole, employé du gaz ou écrivain public..., il gagne Istanbul et devient journaliste du Cumhuriyet. Il publie en 1952 un recueil de nouvelles, puis, en 1955, le premier Mèmed, qui devient immédiatement un immense succès et a été traduit dans de nombreux pays. Le prix du Meilleur Livre étranger 1978 lui a été décerné pour L'herbe qui ne meurt pas ; le Prix mondial Cino Del Duca 1982 et le prix de la Paix 1977, remis à Francfort, couronnent l'ensemble de son œuvre.

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