Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Suzanne aime sa vie de bureau réglée sous le regard sévère de son patron. Elle n'aime du reste que ça. Les autres l'importunent, dérangent son parcours...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 25 septembre et le 28 septembre
En librairie
Résumé
Suzanne aime sa vie de bureau réglée sous le regard sévère de son patron. Elle n'aime du reste que ça. Les autres l'importunent, dérangent son parcours quotidien. Une nouvelle secrétaire dans son paysage uniformément plat est un événement, une sorte d'exaspérante montagne ou de volcan catastrophe (...) Lydie Salvayre qui prête ses mots à Suzanne, joue le jeu de la sobriété, de l'absence d'amour, de l'étroitesse désespérante. Elle joue si bien qu'on y croit, qu'on la voit, cette Suzanne sournoisement étroite et, dans le fond, si pathétique..
Michèle Gazier, Télérama.
Peu à peu l'obsession fait place à l'hystérie, la haine, la folle et Lydie Salvayre se délecte à nous raconter par le menu la déchéance d'une apparence impitoyale et révélateur.
Christine Ferniot, Madame Figaro.
Dans ce récit fulminant, la réussite tient d'abord à la qualité du regard, qui est rapide et mordant : à la concurrence que s'y font l'ironie, voire la cruauté et la compassion, à la faculté d'égratigner sans avoir l'air d'y toucher, bref de suggérer l'essentiel sans le désigner comme tel.
Pierre Veilletet, Le Nouvel Observateur.