Les contes d'un matin - Poche

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En 1908, Giraudoux a vingt-six ans. Il commence à publier des contes dans deux quotidiens, Le Matin et Paris-Journal. L'humour et la fantaisie éclatent... Lire la suite
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Résumé

En 1908, Giraudoux a vingt-six ans. Il commence à publier des contes dans deux quotidiens, Le Matin et Paris-Journal. L'humour et la fantaisie éclatent sans contraintes dans ces courtes pièces étincelantes. Joyeux et mystificateur, Giraudoux fait parler Ulysse comme un Homère burlesque. Il met en scène Sherlock Holmes, mais un Sherlock Holmes à l'envers, tandis que ses personnages de la vie parisienne évoquent, trente-cinq ans à l'avance, ceux de La Folle de Chaillot.

Caractéristiques

  • Date de parution
    12/02/1999
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    2-07-075487-1
  • EAN
    9782070754878
  • Format
    Poche
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    113 pages
  • Poids
    0.145 Kg
  • Dimensions
    12,7 cm × 19,0 cm × 0,8 cm

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À propos de l'auteur

Jean Giraudoux

Biographie de Jean Giraudoux

Jean Giraudoux est né à Bellac, dans le Limousin, en 1882. Sorti de l'Ecole normale supérieure, il fait une carrière diplomatique très particulière et occupe différents postes à Paris au ministère des Affaires étrangères. En 1909, il publie un recueil de nouvelles, Provinciales, qui évoque son Limousin natal. De la guerre et de missions aux Etats-Unis, il rapporte Lectures pour une ombre, Amica America et Adorable Clio. Son premier roman, Simon le Pathétique, date de 1918. Il est suivi de Elpénor, Suzanne et le Pacifique, Siegfried et le Limousin, Juliette au pays des hommes, Bella, Eglantine, etc. En 1928, sa rencontre avec Louis Jouvet l'amène au théâtre. Dès Siegfried, Giraudoux est considéré comme l'un des plus grands dramaturges de son temps. Viennent Amphitryon 38, Judith, Intermezzo, La guerre de Troie n'aura pas lieu, Electre, Ondine. Quand la guerre éclate en 1939, Jean Giraudoux est nommé commissaire général à l'Information. Après la défaite, il se retire à Cusset. Il se rend de temps en temps à Paris, où il participe à deux films, La Duchesse de Langeais et Les Anges du péché. Ses trois dernières œuvres théâtrales seront représentées après sa mort en 1944 : La Folle de Chaillot en 1945, L'Apollon de Bellac en 1947 et Pour Lucrèce en 1953.

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