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Le portrait vivant d’un chef d’État ambitieux, d’un homme colérique et passionné, et d’un insatiable don Juan.« Je suis à part de tout le monde et n’accepte les conditions de personne », disait, sûr de son fait, celui que l’on nommera l’Aigle.Grande figure de notre histoire, Napoléon a régné en maître… et en amant caractériel sur son Empire. Né en Corse, rue de la Mauvaise-Herbe, le futur génie de la guerre et des mathématiques, rédacteur du fameux Code civil et meneur d’illustres batailles, était aussi promis à un avenir charnel florissant.Malgré un physique quelconque et surtout sa petite taille (il mesurait 1,68 mètre !), Napoléon, le séducteur emporté, quand il n’était pas sur le front, s’est constitué une véritable légion de femmes… qu’il a quasiment toutes voulu épouser ! Mais, pour lui, rien n’égalait une bonne épouse et une bonne mère… Après de tempétueuses et tout aussi rapides liaisons avec la Daletti, la Montansier, la Duperron et les autres, il succombe à la sublime créole, Marie-Rose Tascher de la Pagerie, vicomtesse de Beauharnais.
Joséphine, l’unique. Leurs amours seront douces et terribles, passionnelles et désespérées, dignes d’un véritable roman-feuilleton. Tandis que Bonaparte voue un culte à sa femme, celle-ci s’entiche d’amants, se moque de lui, parvient à lui faire passer tous ses caprices. La seule faute de Joséphine sera de ne pas être capable de donner à son empereur d’époux l’héritier tant espéré. Trop tiraillé par son désir d’enfant, Napoléon demandera le divorce et assurera sa descendance dans d’autres bras… Descendance que l’auteur soupçonne considérable au vu de ses nombreuses conquêtes !