Le style d’écriture de l’auteur, dans ce long roman, est très vivant. On se représente parfaitement les scènes, les impressions physiques des personnages, les lumières…grâce à quelques détails faisant ressortir la vie de la fin des années 30, à Macédonia. Je conviens qu’il est parfois difficile de s’y retrouver entre l’épistolaire, le flash back et les trois narratrices, Layla, Willa et Jottie ainsi que des personnages très nombreux gravitant autour de l’histoire. Après la scène de révélation du secret, rédigée un peu théâtralement, tout en contraste avec l’histoire
qui s’étire dans une torpeur caniculaire, j’ai ressenti une rupture dans mon intérêt pour l’histoire. Après cette scène, que l’on attend depuis le début, la profondeur des personnages a été soit simplifiée pour certains, soit s’est complètement figée…
un peu long
Le style d’écriture de l’auteur, dans ce long roman, est très vivant. On se représente parfaitement les scènes, les impressions physiques des personnages, les lumières…grâce à quelques détails faisant ressortir la vie de la fin des années 30, à Macédonia. Je conviens qu’il est parfois difficile de s’y retrouver entre l’épistolaire, le flash back et les trois narratrices, Layla, Willa et Jottie ainsi que des personnages très nombreux gravitant autour de l’histoire. Après la scène de révélation du secret, rédigée un peu théâtralement, tout en contraste avec l’histoire qui s’étire dans une torpeur caniculaire, j’ai ressenti une rupture dans mon intérêt pour l’histoire. Après cette scène, que l’on attend depuis le début, la profondeur des personnages a été soit simplifiée pour certains, soit s’est complètement figée…