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Avec ce sixième roman, Linwood Barclay, le créateur de frissons, confirme son talent à la mesure d'un Harlan Coben. Adultère, schizophrénie, nouvelles technologies, meurtres... Un thriller aux confins de nos angoisses, rythmé par des dialogues percutants et des coups de théâtre en rafale, " le meilleur Barclay à ce jour ", dixit Stephen King en personne !
Aux États-Unis, de nos jours
Illustrateur de 37 ans, Ray doit abandonner sa vie de célibataire et ses activités professionnelles pour retourner dans la maison familiale suite au décès accidentel de son père.
Il y retrouve Thomas, son cadet, et du même coup toutes les difficultés qu'il pensait avoir laissées derrière lui.
Thomas est en effet atteint de schizophrénie, il vit replié dans sa chambre et passe ses journées sur son ordinateur, devant un programme de cartes interactives baptisé Whirl360. Convaincu de l'imminence d'une attaque terroriste, Thomas s'est donné pour mission de mémoriser les plans des grandes villes de la planète afin, le moment venu, de venir en aide aux agences de renseignement.
Mais aujourd'hui, Thomas est plus agité qu'à l'ordinaire.
En explorant virtuellement Manhattan, il pense avoir surpris une scène de meurtre, une femme à une fenêtre, la tête dans un sac, asphyxiée et n'a désormais de cesse que de harceler Ray pour qu'il aille vérifier sur place.
De guerre lasse et bien décidé à prouver à son frère qu'il a certainement rêvé, Ray se rend donc à Manhattan, déclenchant malgré lui une spirale tragique...
Adultère, schizophrénie, nouvelles technologies, meurtres...
Un thriller aux confins de nos angoisses, par le créateur de frissons.
Pas mal mais pas exceptionnel
Un schizophrène agoraphobe parcourt le monde via internet. Au cours de ses explorations, il croit voir le meurtre d'une femme au travers d'une fenêtre. Il convaincq son frère de l'aider à mener une enquête qui va le pousser à dépasser ses peurs, à révéler ses secrets et à affronter des gens prêt à tout pour le pouvoir.
L'histoire est pas mal, toutes les réponses ne sont données qu'à la fin mais Ray n'est pas charismatique et la partie sentimentale est un peu niaise : on se croirait dans un roman de Mary Higgins Clark (romancière que j'ai apprécié plus jeune). Venant d'un écrivain , d'un homme je m'attendais à ce que l'histoire soit plus virile, plus brut.