Jean-Louis Laville, sociologue, chargé de recherches, est membre du CRIDA et co-directeur du LSCI (Laboratoire de sociologie du changement des institutions).
Alain Caillé, professeur de sociologie à l’université Paris-Ouest La Défense où il codirige le SOPHIAPOL (Laboratoire de sociologie, philosophie et anthropologie politiques), est le fondateur et directeur de La Revue du M.A.U.S.S. (Mouvement anti-utilitariste en science sociale).
Il est l’auteur de nombreux ouvrages, dont, à la Découverte, La Quête de reconnaissance. Nouveau phénomène social total (2006), ou encore Anthropologie du don. Le tiers paradigme (Poches, 2007).
Philippe Chanial, secrétaire général de La Revue du MAUSS, est maître de conférences en sociologie à l’université Paris IX-Dauphine, où il codirige le CERSO (Centre d’études et de recherches en sociologie des organisations).
Bernard Eme, sociologue, est maître de conférences associé à l'IEP Paris et co-responsable du CRIDA (Centre de recherche et d'information sur la démocratie et l'autonomie, équipement LSCI-CNRS).
Éric Dacheux, maître de conférences associé à l'IEP de Paris et co-responsable de l'équipe "Espace public européen" au sein du laboratoire "Communication et politique" (CNRS).
Serge Latouche est un économiste et philosophe français.
Professeur émérite à la faculté de Droit, économie et gestion Jean Monnet (Sceaux) de l’université Paris-XI, il est Objecteur de croissance et président de l’association des amis d’Entropia (Revue d’étude théorique et politique de la décroissance). Il est aussi l’un des « contributeurs historiques » de La Revue du MAUSS. Il est notamment l’auteur de L’Occidentalisation du monde : Essai sur la signification, la portée et les limites de l’uniformisation planétaire (La Découverte, 1989), L’Autre Afrique, entre don et marché (Albin Michel, 1998), Justice sans limites (Fayard, 2003), L'invention de l'économie (Albin Michel, 2004), Survivre au développement : De la décolonisation de l’imaginaire économique à la construction d’une société alternative (Mille et une nuits, 2004), Décoloniser l'imaginaire.
La pensée créative contre l'économie de l’absurde (Parangon, 2004), Le pari de la décroissance (Fayard, 2006), Petit traité de la décroissance sereine (Mille et une nuits, 2007).