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À découvrir
4 Note(s) et avis
Pendant près de deux heures, Carthew et ses deux fils Jerry et David, partis prendre leur petit-déjeuner au 107eme étage du World Trade Center, vont vivre l'enfer au cœur de l'attentat du 11 septembre 2001.
Le réalisme de ce devoir de mémoire est digne d'un documentaire ; avec son empathie profonde pour les victimes, Beigbeder réussit un livre à la fois choquant et utile en décrivant l'inimaginable.
Prix Interrallié 2003
Après son enfance malheureuse et son abandon, Corentin va vivre entre études et fêtes à Paris. Puis arrive l'apocalypse, avec de rares survivants.
La réussite de ce roman tient à son rythme haletant insufflé par des phrases courtes et percutantes, et à l'ambiance oppressante qui en découle; mais le fil conducteur reste l'espoir, comme une lumière au milieu de toute cette noirceur.
Un roman très immersif qui peut plaire également aux lecteurs habituellement allergiques aux dystopies!
Au-delà des anecdotes (renvoi, exploits de comptoirs), Frédéric Beigbeder conclut sa trilogie dédiée à son double littéraire Octave Parango avec un livre paradoxal et touchant.
Paradoxal car il utilise ce qu'il fustige (la dérision servant de masque) ; touchant par de rares mais forts moments, quand il évoque sa vie de famille, ses amours, et son désespoir.
4 Note(s) et avis
Le fond et la forme
Un texte d'actualité sur l'interdépendance des espèces végétales, et par extension, sur l'appartenance pleine des arbres au monde du vivant, dont nous sommes à la fois aussi interdépendants, et responsables.
Si le fond est d'une utilité cruciale, on ne peut que regretter la forme, n'offrant aucun support pédagogique pour appuyer le propos (schéma, graphique, photographie)...
Une lecture néanmoins essentielle et plaisante.