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À découvrir
Marion Liéval n'a pas fini de compléter son profil
Une impressionnante saga familiale, qui de la veille de la Première Guerre Mondiale à nos jours interroge sur la transmission de la violence, le poids des secrets d'une génération à l'autre. Anne-Laure Bondoux nous tient en haleine sur près de 500 pages, en mêlant petite et grande histoire. En résumé : une Pépite d'Or au salon de Montreuil bien méritée !
Une ambiance hivernale féérique et chaleureuse, des amis qui fêtent un anniversaire sous la neige... et pour couronner le tout la recette du gâteau à la dernière page !
Le syndrome de l'Orangerie
Bmore a encore frappé !
En reprenant le fameux duo d'enquêteurs à l'oeuvre dans "Le coeur ne cède pas", Bouillier nous annonce le programme d'entrée de jeu : il y aura de l'humour à haute dose, mais surtout la quête de la Vérité (oui, celle avec un grand V, pas une autre) (mais avec quelle modestie dans l'exercice !)
On pourrait être tenté de se dire que certaines conclusions de l'enquête sont capillotractées, mais le cheminement est tellement convaincant, que de l'ensemble se dégage un parfum d'évidence.
Et puis Bouillier est de ces auteurs qui peuvent tisser un lien entre Auschwitz-Birkenau et Giverny sans se prendre les pieds dans le tapis, et ça, ce n'est pas rien.
Le Syndrome de l'Orangerie n'est évidemment pas une étude sur les nymphéas de Monet (non mais pour qui le prend-on ? Il s'agit quand même de Bmore, le célèbre inspecteur !). Alors il s'agit peut-être d'un essai sur l'art de la parenthèse ? Ce serait un peu court. Ou tout simplement, une fois encore une fois, d'un grand roman sur la littérature...