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Publié en 1985, Crisis on Infinite Earths est le premier event éditorial et le projet le plus colossal jamais prévu par un éditeur de comics.
A la base, une problématique liée aux histoires publiées depuis les années 30 et le récit fondateur du mythe Superman. Ces histoires faisaient intervenir des personnages qu'il était compliqué de faire tenir ensemble dans un univers cohérent. De là est né le concept du Multivers : une infinité de Terres parallèles avec des variantes de super-héros. A titre d'exemple : si Barry Allen est le Flash de Terre-1, Jay Garrick est celui de Terre-2.
Le
problème, c'est que ce multivers a complexifié de façon invraisemblable l'univers DC Comics (qui n'en a pas vraiment besoin !). Dès lors, naît la nécessité de balayer le Multivers et de ne faire exister qu'une seule version de chaque personnage. Et voici Crisis On Infinite EarthS.
Dans ce volume prélude, nommé Compagnon, vous sera présenté l'ensemble des récits présentant les variantes iconiques et les Terres parallèles. Si vous ne maitrisez pas trop le Multivers DC Comics, foncez avant de vous jeter sur le gros pavé qu'est l'event principal.
Les évènements racontés dans ce tome se passent avant la collection "Geoff Johns présente Green Lantern", pourtant, il vaut le lire. Pourquoi ? Parce que vous comprendrez rien, sinon.
Fort de sa culture en comics, Geoff Johns nous raconte le retour de Hal Jordan après être devenu le méchant Parallax. Servi par le dessin (moche, à mon avis) de Ethan Van Sciver, le tome n'est pas transcendant mais mérite d'être lu pour tout fan de Green Lantern et du travail de l'auteur sur le personnage puisqu'il préfigure certains éléments de son run.
Vous voilà prévenus !
J’adore le travaille de Jonathan Hickman sur la série Avengers mais Rick Remender a un avantage : son histoire est directement accessible, sans narration tortueuse mettant en place des pions. La narration se joue sur plusieurs niveaux avec en creux la question de l'héritage et du poids des responsabilités porté par des personnages torturés.
L'histoire des quatre premiers tomes se place après "Avengers vs X-Men", partez pas tout de suite, c'est mieux ! On se retrouve face à une équipe réunissant des mutants et des X-Men, dirigée par Alex Summers (frangin de Cyclope) alias Havok.
Elle se compose de Malicia, la Sorcière Rouge, Cap', Thor et Wolverine. Une équipé hétéroclite, donc ! Vous pensez que tout va rouler ? Lol !
Rick Remender est aux commandes et comme il aime torturé ses personnages, il va s'amuser avec eux, chaque situation ira de mal en pis et même une victoire pourra être perçu comme un échec. On se retrouve donc avec une histoire spectaculaire, à base de gros cliffhangers, twists et un travail psychologique exemplaire.
Ajoutez à ça une équipe artistique en béton armé : John Cassaday, pas aussi régulier qu'on le voudrait ; Daniel Acuna ; Steve McNiven. Bref, cette série est un diamant brute, injustement boudée parce que lente à démarrer mais bon dieu, quel pied une fois pris dans le Tome 2 ! C'est ici que les choses sérieuses commencent.
J’adore le travaille de Jonathan Hickman sur la série Avengers mais Rick Remender a un avantage : son histoire est directement accessible, sans narration tortueuse mettant en place des pions. La narration se joue sur plusieurs niveaux avec en creux la question de l'héritage et du poids des responsabilités porté par des personnages torturés.
L'histoire des quatre premiers tomes se place après "Avengers vs X-Men", partez pas tout de suite, c'est mieux ! On se retrouve face à une équipe réunissant des mutants et des X-Men, dirigée par Alex Summers (frangin de Cyclope) alias Havok.
Elle se compose de Malicia, la Sorcière Rouge, Cap', Thor et Wolverine. Une équipé hétéroclite, donc ! Vous pensez que tout va rouler ? Lol !
Rick Remender est aux commandes et comme il aime torturé ses personnages, il va s'amuser avec eux, chaque situation ira de mal en pis et même une victoire pourra être perçu comme un échec. On se retrouve donc avec une histoire spectaculaire, à base de gros cliffhangers, twists et un travail psychologique exemplaire.
Ajoutez à ça une équipe artistique en béton armé : John Cassaday, pas aussi régulier qu'on le voudrait ; Daniel Acuna ; Steve McNiven. Bref, cette série est un diamant brute, injustement boudée parce que lente à démarrer mais bon dieu, quel pied une fois pris dans le Tome 2 !
Ce quatrième tome conclut la première partie du run de Rick Remender sur cette série. Dommage que le dernier chapitre sente le rush de dernière minute. Les choses sont un peu compressées. On sent l'impératif AXIS derrière et que Marvel a mis la pression à l'auteur pour boucler les choses au plus vite. Pas trop grave mais une envie de plus qui se fait sentir. Ne boudons pas notre plaisir, c'est largement au-dessus de beaucoup de comics, surtout du côté des X-Men.
J’adore le travaille de Jonathan Hickman sur la série Avengers mais Rick Remender a un avantage : son histoire est directement accessible, sans narration tortueuse mettant en place des pions. La narration se joue sur plusieurs niveaux avec en creux la question de l'héritage et du poids des responsabilités porté par des personnages torturés.
L'histoire des quatre premiers tomes se place après "Avengers vs X-Men", partez pas tout de suite, c'est mieux ! On se retrouve face à une équipe réunissant des mutants et des X-Men, dirigée par Alex Summers (frangin de Cyclope) alias Havok.
Elle se compose de Malicia, la Sorcière Rouge, Cap', Thor et Wolverine. Une équipé hétéroclite, donc ! Vous pensez que tout va rouler ? Lol !
Rick Remender est aux commandes et comme il aime torturé ses personnages, il va s'amuser avec eux, chaque situation ira de mal en pis et même une victoire pourra être perçu comme un échec. On se retrouve donc avec une histoire spectaculaire, à base de gros cliffhangers, twists et un travail psychologique exemplaire.
Ajoutez à ça une équipe artistique en béton armé : John Cassaday, pas aussi régulier qu'on le voudrait ; Daniel Acuna ; Steve McNiven. Bref, cette série est un diamant brute, injustement boudée parce que lente à démarrer mais bon dieu, quel pied une fois pris dans le Tome 2 !
Les quatre premiers tomes forment un travail complet. S'en suivra ensuite la deuxième partie dans le Tome 5 et surtout dans AXIS. Pourquoi j'en ai pas parlé ? Lisez, vous devriez rapidement comprendre.
J’adore le travaille de Jonathan Hickman sur la série Avengers mais Rick Remender a un avantage : son histoire est directement accessible, sans narration tortueuse mettant en place des pions. La narration se joue sur plusieurs niveaux avec en creux la question de l'héritage et du poids des responsabilités porté par des personnages torturés.
L'histoire des quatre premiers tomes se place après "Avengers vs X-Men", partez pas tout de suite, c'est mieux ! On se retrouve face à une équipe réunissant des mutants et des X-Men, dirigée par Alex Summers (frangin de Cyclope) alias Havok.
Elle se compose de Malicia, la Sorcière Rouge, Cap', Thor et Wolverine. Une équipé hétéroclite, donc ! Vous pensez que tout va rouler ? Lol !
Rick Remender est aux commandes et comme il aime torturé ses personnages, il va s'amuser avec eux, chaque situation ira de mal en pis et même une victoire pourra être perçu comme un échec. On se retrouve donc avec une histoire spectaculaire, à base de gros cliffhangers, twists et un travail psychologique exemplaire.
Ajoutez à ça une équipe artistique en béton armé : John Cassaday, pas aussi régulier qu'on le voudrait ; Daniel Acuna ; Steve McNiven. Bref, cette série est un diamant brute, injustement boudée parce que lente à démarrer mais bon dieu, quel pied une fois pris dans le Tome 2 !
Les quatre premiers tomes forment un travail complet. S'en suivra ensuite la deuxième partie dans le Tome 5 et surtout dans AXIS. Pourquoi j'en ai pas parlé ? Lisez, vous devriez rapidement comprendre.
Peter Parker est enfin de retour sous le costume de Spider-Man !
Et comme c'est Peter qui revient, c'est fun ! Sauf que maintenant, il doit comprendre ce que Otto a semé dans sa vie lorsqu'il était à sa place et réparer certaines erreurs. Rassurez-vous, il n'oublie pas de faire des blagues nulles. Il va également rencontrer une jeune fille, mordue par la même araignée que lui. Sauf qu’elle ne maîtrise absolument pas ses pouvoirs.
Le vrai bon point de ce tome 1, c'est à la fois la présence d'Humberto Ramos aux dessins. C'est vif, précis, dynamique et le découpage est ouf !
Ensuite, ça vous prépare à un gros évènement qui va faire intervenir un maximum de personnages aux pouvoirs arachnéens et qui sera bien kiffant pour les fans du Spider-verse !
Bref, c'est cool même si on n'est toujours pas au niveau du boulot de Straczynski !
Geoff Johns entame la dernière partie de sa série Justice League avec un affrontement titanesque entre Darkseid et l'Anti-Monitor, les deux êtres les plus puissants de l'univers DC !
Comme tout blockbuster, il y a des explosions partout, des gros combats dantesques, etc. mais surtout, il y a Jason Fabok ! Petit génie du crayon, chaque page éclate la rétine ! La composition des pages rend l'action toujours ultra lisible, les mouvements sont reproduits à la perfection. Une jouissance de chaque instant où tous les personnages transpirent la classe !
Sans oublier les dialogues de Geoff
Johns qui font toujours mouche, des twists et un sens du cliffhanger à faire pâlir "le Trône de Fer".
Petit conseil de lecture : surveillez les kiosques, un hors-série compilant six récits liés à Darkseid War va sortir en août et ne sera peut-être pas en librairie. Malgré tout, sa lecture vaut largement le détour pour certains récits.
Le trop mignon et toujours en colère Rocket Raccoon est de retour pour des aventures avec son copain, Groot, le tronc qui parle !
Rocket va vivre une aventure complètement dingue pour découvrir ses origines ! Et qui dit aventure dans l'espace, dit créatures étranges, vaisseaux spatiaux et des gros flingues !!!
Skottie Young, aux dessins et au scénario, assure grave avec son trait décalé proche d'un cartoon Tex Avery et son ton complètement loufoque qui n'oublie pas de nous faire vibrer grâce à des personnages bien écrits et respectés
Quand le meilleur membre des Gardiens de
la Galaxie obtient une série solo excellente, que demandez de plus ?
Batman en mode détective mené par Paul Dini, scénariste de Batman, la série animée.
Paul Dini, génial scénariste sur Batman, la série animée (AKA la meilleure adaptation de Batman, ever !) a scénarisé la série Detective Comics qui met en avant des enquêtes menées par Batman.
Offrant une série de plus ou moins longs arcs, le scénariste dessine en filigrane un Batman toujours plus perspicace et humain. En témoigne son histoire d'amour contrariée avec Zatanna. Surtout, on retrouve tout le talent d'écriture d'un des mecs les plus intelligents et les plus respectueux des personnages. Ainsi, il offre beaucoup de nuances à un méchant emblématique tel que le Sphinx, sur la voie du repenti, ou encore à Poison Ivy et à son personnage : Harley Quinn.
Une série en trois tomes, courte mais bourrée du talent d'un monsieur souvent oublié parmi les grands. Alors, si vous voulez corriger une injustice, foncez !