Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Selon la légende, Christophe le passeur était un bon géant qui portait sur ses épaules les pèlerins pour leur faire franchir à gué une rivière....
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Résumé
Selon la légende, Christophe le passeur était un bon géant qui portait sur ses épaules les pèlerins pour leur faire franchir à gué une rivière. Mais un jour, malgré sa force herculéenne, il peine à porter un minuscule bambin : c'est l'enfant Jésus qui a pris place sur ses épaules ! Comment ne serait-il pas écrasé par l'immensité du Fils de Dieu ? L'image du Christ-fondement qui a été choisie comme thème de la Semaine de l'Unité 2005 nous invite à inverser la perspective : ce n'est pas nous qui portons le Christ (qui sommes des christophores ou des christophes), c'est le Christ qui nous porte... et il est assez fort pour le faire ! Oui, il est solide (Amen en hébreu), notre Christ ! C'est sur lui qu'on doit prendre appui pour construire, individuellement ou collectivement, une vie qui ait du sens et du sel ! " Christ unique fondement de l'Église " (1 Co 3, 11). Avouons-le : nous avons eu un peu de mal à admettre cette traduction du verset paulinien ! Partout ailleurs, dans le Nouveau Testament, le mot grec thémèlion, qui est rendu ici par fondement est traduit fondations, et nous regrettions qu'on abandonne cette belle image concrète et architecturale ! C'est Bernard Sesboüé, l'actuel co-président catholique du Groupe des Dombes, qui nous a amenés à adhérer à cette traduction. Dire que le Christ est fondation de l'Eglise (soubassement, préparation) pourrait laisser entendre que celle-ci a été construite " par ses apôtres après lui et en souvenir de lui ", à l'image " d'une association fondée pour garder le souvenir d'un homme célèbre ". Dire que Jésus-Christ est " lui-même le fondement de l'Eglise ", (autrement dit : le principe avéré), c'est souligner que c'est Jésus qui constitue l'Eglise par le don qu'il fait de lui-même dans le mystère pascal. C'est en fait dans sa mort et sa Résurrection que le Christ baptise l'Eglise et la construit par le don qu'il lui fait de l'Eucharistie. "...