Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Avec Un amour qui s'étiole, René Vazquez Diaz achève superbement sa trilogie consacrée à Cuba, et confirme sa capacité à créer des personnages...
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Livré chez vous entre le 28 septembre et le 1 octobre
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Résumé
Avec Un amour qui s'étiole, René Vazquez Diaz achève superbement sa trilogie consacrée à Cuba, et confirme sa capacité à créer des personnages et des situations inoubliables. Des femmes rebelles, indomptables, délicieuses. Des chats étranges descendant tout droit d'une lignée humaine. Des homosexuels libertaires défendant leur propre espace. Des déments qui portent en eux l'imaginaire de la mémoire collective cubaine. Le jeune héros de ce roman est un individualiste forcené, dangereux, affairé et fourbe... Mais il est aussi douloureusement lucide, vulnérable et sensuel jusqu'à la délicatesse. Sa recherche est celle du désespéré qui veut trouver une image qui rende impossible l'oubli ; son image est celle de celui qui doute de tout, y compris de ses propres qualités. Oracio n'accepte pas les vérités absolues ni les mensonges relatifs. Son malheur est de vouloir tuer son père et d'aimer toutes les femmes. En un mot, il est fou. Mais dans sa belle folie palpitent les rêves, la nostalgie, l'extravagance, les frustrations et le charme du malheureux mais admirable peuple cubain. Avec une langue imaginative et raffinée, mais à la fois violente et osée, Vazquez Diaz tisse définitivement les fils littéraires de L'ère imaginaire et de L'île du Cundeamor, et nous entraîne dans un labyrinthe d'intrigues mystérieuses qui dissimulent toujours le double sens - et le dénouement inattendu - des images d'une portée universelle : les contradictions entre l'individu et la collectivité, la fugacité de toute entreprise humaine, l'angoisse d'être ce que l'on est et pas autre chose, le courant inexorable de l'Histoire entraînant les peuples, et, le marquant totalement de son empreinte de jouissance et de douleur, les possibilités (ou l'impossibilité) de l'amour. On a écrit que René Vazquez Diaz est " un loup solitaire, réfugié dans le nord de l'Europe ". Ce roman est un bel exorcisme à l'encontre même du concept de solitude.