Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Marino Narpozzi présente dans cet ouvrage les caractéristiques contextuelles et architecturales de trente prestigieux théâtres réalisés entre 1980...
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Marino Narpozzi présente dans cet ouvrage les caractéristiques contextuelles et architecturales de trente prestigieux théâtres réalisés entre 1980 et 2005. Un essai historique, de nombreux plans et photographies, ainsi que des fiches techniques et une riche bibliographie, mettent en évidence l'évolution d'une typologie qui, de l'époque classique jusqu'à nos jours, n'a cessé d'accompagner les aléas de l'architecture urbaine. Cet examen de toutes les formulations de l'édifice théâtral depuis la Renaissance jusqu'au XIXe siècle, notamment à travers les traités d'architecture, nous enseigne que la scène théâtrale s'est de tout temps identifiée avec la scénographie urbaine. Cette préoccupation déjà présente clans le théâtre antique. et non sans rapport avec le projet de ville idéale, fut reprise avec une fortune particulière dans les recherches théâtrales et scénographiques de la Renaissance, conjuguant les études sur la perspective, la relecture (le Vitruve et les réflexions théoriques des architectes du XVIe siècle. Qu'il s'agisse aujourd'hui de théâtres nouveaux. Grands ou petits, de restructurations de salles historiques ou de théâtres intégrés à de plus vastes complexes, le rapport que ces salles instaure avec la cité engendre des solutions et des développements d'une `grande diversité. Avec les théâtres de Chambéry (Mario Botta) et de Martigues (Fibre/Spelleret Marino Narpozzi). avec l'Opéra de Glyndebourne (HopkinsArchitects) ou avec l'auditorium de Leon (Mansilla+Tunin).I'architecture s'intègre avec discrétion dans le contexte urbain tout en cherchant à dialoguer avec les spécificités du lieu. Parfois, l'édifice théâtral devient un élément spectaculaire dont la fonction proprement monumentale se propose de catalyser rencontres et événements : Kursaal à San Sebastiàn (Rafael Moneo).Théâtre Luxorà Rotterdam (Bolles+Wilson) et Richard B. Fisher Center for Perforrnima Arts il Nev< York (Frank 0. Gehry). Ailleurs, ce lieu de rencontres et de représentations s'exprime bien au-delà de la salle, par exemple dans de vastes foyers de verre ouvrant sur l'extérieur comme au Théâtre Markant de Uden (Hernran Hertzberger). au Théâtre national de Catalogne à Barcelone (Ricardo Bofill), au Théâtre de Recklinghausen (Auer+Weber+Architekten), au Théâtre sur la Potsdamer Platz à Berlin (Renzo Piano Building Workshop) ou au Centre culturel de Lucerne (Jean Nouvel). Enfin, quelques réalisations s'appuient sur la reprise et la reconfiguration de bâtiments plus anciens: Théâtre de La Fenice à Venise (Aldo Rossi Arassociati),Théâtre de Sagunto (GiorgioGrassi et Manuel Portaceli Roig, Théâtre alla Scala a Milan (Mario Botta).