Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Ernst Bloch a publié deux éditions consécutives de L'Esprit de l'Utopie, en 1918 puis en 1923. Entre-temps, il s'est rapproché du socialisme avec...
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Livré chez vous entre le 4 octobre et le 15 octobre
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Résumé
Ernst Bloch a publié deux éditions consécutives de L'Esprit de l'Utopie, en 1918 puis en 1923. Entre-temps, il s'est rapproché du socialisme avec une monographie sur Thomas Münzer. Avec ses traits millénaristes et hérétiques, la Guerre des paysans d'Allemagne a pris désormais l'importance d'un modèle historique décisif. Entre ces deux éditions, le livre subit quelques changements, dont la suppression d'un chapitre : " Symbole: les Juifs ", rédigé bien antérieurement, en 1912, lorsque, dans un contexte d'intenses échanges avec Georg Lukacs, les deux amis font l'expérience du renouveau du judaïsme. Commençant par la proclamation éclatante : " S'éveille enfin la fierté d'être juif...", cet écrit du jeune Bloch offre une interprétation messianique et néo-marcionite de la "question juive", très éloignée de celle de Marx en 1843. Dans son essai introductif, Raphaël Lellouche retrace l'histoire de ce chapitre " oublié ", et montre combien non seulement il renouvelle notre compréhension du jeune Bloch et de la genèse de sa philosophie de l'utopie, mais révèle aussi l'actualité de sa " gnose révolutionnaire ".