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Passionnant
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XXe siècle
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Dream
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Death
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Destiny
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Despair
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Destruction
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Desire
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Delight
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Sandman
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Morphée
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Cauchemar
Sandman : Indéfinissable, hybride, avec des personnages forts et attachants.
Au cours d'une interview, un journaliste a demandé à Neil Gaiman de le résumer en 25 mots maximum, ce qu'il a fait : "Le Seigneur des Rêves apprend qu'il faut soit changer soit mourir, et il prend sa décision".
Ce que moi je peux en dire, sans contrainte de place : Neil Gaiman réalise ici, avec différents dessinateurs, un travail remarquable, un chef d'oeuvre, où il mêle des influences diverses qui sont la charpente de notre culture.
De ces sources, aussi variées que les mythologies des cultures antiques
(babylonienne, égyptienne, grecque, romaine, nordique, celtique, finno-ougrienne, japonaise, chinoise et j'en oublie), Chaucer, Shakespeare, les légendes urbaines, Virgile, Mark Twain, La Bible, les héros de DC Comics, les Mille et Une Nuits et bien d'autres, il tire une mythologie syncrétique au coeur de laquelle se trouvent sept entités, nées avant même l'Univers et qui président à nos destinées : les Eternels. Destiny, Death, Desire, Destruction, Delight, Despair et Dream.
Ce dernier est le héros de cette série magique, et c'est lui, pourtant immuable, dont nous suivrons la métamorphose, à travers ses pérégrinations dans le monde du Rêve comme dans le monde de Veille, dans une suite de contes qui se réunissent finalement tous en une immense tapisserie, tissée dans "l'étoffe dont sont faits les rêves".
Pour finir, je dois vous confier qu'au lieu de lire ces quelques mots qui ne pourront jamais vous permettre d'embrasser l'immensité du domaine qui s'offre à vous, vous auriez déjà dû ouvrir Sandman et entrer dans le Rêve.
Dream a little dream of me
Sandman : Indéfinissable, hybride, avec des personnages forts et attachants.
Au cours d'une interview, un journaliste a demandé à Neil Gaiman de le résumer en 25 mots maximum, ce qu'il a fait : "Le Seigneur des Rêves apprend qu'il faut soit changer soit mourir, et il prend sa décision".
Ce que moi je peux en dire, sans contrainte de place : Neil Gaiman réalise ici, avec différents dessinateurs, un travail remarquable, un chef d'oeuvre, où il mêle des influences diverses qui sont la charpente de notre culture.
De ces sources, aussi variées que les mythologies des cultures antiques (babylonienne, égyptienne, grecque, romaine, nordique, celtique, finno-ougrienne, japonaise, chinoise et j'en oublie), Chaucer, Shakespeare, les légendes urbaines, Virgile, Mark Twain, La Bible, les héros de DC Comics, les Mille et Une Nuits et bien d'autres, il tire une mythologie syncrétique au coeur de laquelle se trouvent sept entités, nées avant même l'Univers et qui président à nos destinées : les Eternels. Destiny, Death, Desire, Destruction, Delight, Despair et Dream.
Ce dernier est le héros de cette série magique, et c'est lui, pourtant immuable, dont nous suivrons la métamorphose, à travers ses pérégrinations dans le monde du Rêve comme dans le monde de Veille, dans une suite de contes qui se réunissent finalement tous en une immense tapisserie, tissée dans "l'étoffe dont sont faits les rêves".
Pour finir, je dois vous confier qu'au lieu de lire ces quelques mots qui ne pourront jamais vous permettre d'embrasser l'immensité du domaine qui s'offre à vous, vous auriez déjà dû ouvrir Sandman et entrer dans le Rêve.