Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Professeur de philosophie en 1968, à Paris, Guy Coq a partagé les rêves d'une génération de " soixante-huitard " : hors de Marx, de Freud et de leurs...
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Livré chez vous entre le 27 septembre et le 1 octobre
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Résumé
Professeur de philosophie en 1968, à Paris, Guy Coq a partagé les rêves d'une génération de " soixante-huitard " : hors de Marx, de Freud et de leurs dérivés, point de salut ! Ce qui est arrivé à Guy Coq, ce n'est pas du tout, comme chez tant d'autres, le rejet de l'idéal de justice sociale et de vérité sur soi-même incarné par le meilleur de ces années folles, mais l'événement inattendu d'une " grâce ", d'un retour - à qui ? Moins à Dieu qu'à un désir de Dieu, dont l'effet premier est de lui redonner une parole perdue dans l'idéologie et les slogans, un désir de vivre plus fortement l'humanité, la sienne et celle d'autrui, le souffle d'un esprit neuf. Il témoigne ainsi d'une façon très intéressante de ce que peut être la foi vécue à l'époque où domine le scepticisme, sans pour autant céder sur la tolérance et le pluralisme. Nous n'avons pas affaire ici au banal récit d'une conversion, mais à une méditation sur la condition spirituelle d'un homme des générations 70 et 80 qui a opéré le grand " retournement " sans renier les espoirs d'émancipation de la décennie précédente.