Post-punk 1978-85 - Grand Format

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Résumé

En janvier 1978, les Sex Pistols se séparent après un concert désastreux au Winterland de San Francisco. Débute une ère nouvelle que l’histoire retiendra sous le nom de post-punk. Un terme qui englobe une multitude de sous-genres : new wave, cold wave, electro pop, gothique, batcave, rock alternatif, musique industrielle… et prendra fin avec l’arrivée du rap et de la house music. Johnny Rotten, réinventé en Lydon, ouvre les hostilités à la tête de son Public Image Limited.
A côté de ces héros de la première heure (Clash, Stranglers, Ramones, Damned, Billy Idol, Lords of the New Church…) qui poursuivent leur aventure avec plus ou moins de bonheur, surgit une nouvelle génération déniaisée par le punk : Nina Hagen, The Cure, Siouxsie and the Banshees, The Slits… La scène post-punk marque aussi le retour de la légèreté et de la culture club. Cette tendance s’épanouira au sein de lieux comme The Batcave, à Londres, et produira le néoromantisme, représenté par Boy George et autres idoles pomponnées.
Parallèlement à ces jeunes gens raffinés et festifs, se développe un courant plus sombre, pour ne pas dire torturé, qui flirte avec la musique industrielle. Ses acteurs ont pour nom Killing Joke, Virgin Prunes ou Alex Sex Fiend, et leur but n’est pas précisément d’entrer le Top 50. La génération venue à la musique à travers le punk n’est pas toujours réfractaire au succès, loin s’en faut. Depeche Mode et U2 délaisseront bien vite les clubs obscurs pour les stades.
Quant à la scène française, elle fait mieux que soutenir la comparaison avec son équivalent anglo-saxon. Si le début des années 1980 est electro pop, avec Elli & Jacno, Indochine, Les Rita Mitsouko et Taxi Girl, la décennie voit ensuite l’éclosion d’une scène alternative radicale, portée par les Bérurier Noir, les Garçons Bouchers et la Mano Negra. Depuis le début des années 2000, avec des formations comme Franz Ferdinand, The Kills, Artic Monkeys ou Arcade Fire, qu’on jurerait tout droit sorties d’un numéro du New Musical Express de 1980, le post-punk n’a jamais été aussi présent.

Caractéristiques

  • Date de parution
    05/03/2015
  • Editeur
  • ISBN
    978-2-84167-934-8
  • EAN
    9782841679348
  • Format
    Grand Format
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    154 pages
  • Poids
    0.885 Kg
  • Dimensions
    26,0 cm × 26,0 cm × 1,5 cm

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À propos des auteurs

Pierre Mikaïloff, écrivain, journaliste (RFI, France Culture, Gonzaï, Rolling Stone, Rock & Folk …), auteur d’une cinquantaine de documentaires de la série Nous nous sommes tant aimés (France 3). Ex-guitariste des Désaxés, puis de Jacno. Auteur d’une vingtaine d’ouvrages : romans, nouvelles, poésie, essais, Dictionnaire des années 80 (Larousse), et plusieurs biographies de référence (Alain Bashung, Téléphone, Daniel Darc, Noir Désir, Jane Birkin, Françoise Hardy…).
Pour la scène, il a coécrit deux fictions musicales : [Re]Play Blessures (avec Arnaud Viviant) et Dernières nouvelles de Frau Major (avec Hédi Tillette de Clermont-Tonnerre), toutes deux consacrées à Alain Bashung. Pierre Terrasson, photographe phare des années 80, il a travaillé avec Siouxtie Sioux, The Clash, The Cure, Mick Jagger, mais encore Gainsbourg et Vanessa Paradis. Ses images ont fait l’objet de nombreuses expositions.
Il est l’auteur de nombreux ouvrages : Backstage (2008), Hard Times (2009), Bashung, Dandy des matins blêmes (2009), Les 7 vies d’Indochine (2009), Le top des années 80 (2010), Véronique Sanson, De l’autre côté de son rêve (2011), Gainsbarre (2011), Patrick Bruel (2011), Vanessa Paradis, les années lolita (2013), Téléphone, ça (c’est vraiment eux) (2013).

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