Toute Petite est en pleine formation. Elle apprend à collecter les bons souvenirs en touchant des objets (mais surtout pas des êtres vivants !) puis à les assembler pour fabriquer des rêves qu’elle soufflera aux personnes concernées.
Avec Vieux et Mince, son tuteur, elle s’occupe d’une vieille dame et de son chien. Cela va se compliquer lorsque cette dame va accueillir un enfant de 8 ans au sale caractère mais très fragile et sujet aux cauchemars provoqués par les saboteurs.
J’ai trouvé notre protagoniste extrêmement attachante avec toute sa vivacité et sa curiosité d’enfant.
Elle est vraiment très bavarde et d’une curiosité insatiable. La demoiselle s’interroge pour tout et, dans la réalité, cela doit être franchement agaçant !
J’ai eu du mal à me faire une image des passeurs de rêves. Au final, j’ai imaginé de petite créatures comme Cahyl (Feydelins de Nadia Coste) : êtres mignons mais si fragiles…
Pour en revenir aux saboteurs, quitte à en parler, j’aurais aimé qu’ils soient beaucoup plus présents, que l’auteur construise de vraies tensions. D’après nos héros, ce sont des ennemis mais tout le roman montre qu’ils cohabitent plutôt bien.
Dans cette histoire, le rêve côtoie l’horreur que peut avoir le quotidien. De plus, l’auteur ne relie jamais cette femme qui recueille un garnement et cette femme qui tente de récupérer son fils… J’ai vraiment eu le sentiment que l’auteur ne prenait pas ses lecteurs pour des idiots.
L’univers que nous propose Loïs Lowry est fantastique, dans tous les sens du terme, doux, délicat et plein d’espoirs. Tout est fondé autour de la mémoire, de la transmission et de bien-être… Des valeurs que l’on retrouve trop rarement dans la littérature Jeunesse contemporaine
A découvrir pour les adolescents
Toute Petite est en pleine formation. Elle apprend à collecter les bons souvenirs en touchant des objets (mais surtout pas des êtres vivants !) puis à les assembler pour fabriquer des rêves qu’elle soufflera aux personnes concernées.
Avec Vieux et Mince, son tuteur, elle s’occupe d’une vieille dame et de son chien. Cela va se compliquer lorsque cette dame va accueillir un enfant de 8 ans au sale caractère mais très fragile et sujet aux cauchemars provoqués par les saboteurs.
J’ai trouvé notre protagoniste extrêmement attachante avec toute sa vivacité et sa curiosité d’enfant. Elle est vraiment très bavarde et d’une curiosité insatiable. La demoiselle s’interroge pour tout et, dans la réalité, cela doit être franchement agaçant !
J’ai eu du mal à me faire une image des passeurs de rêves. Au final, j’ai imaginé de petite créatures comme Cahyl (Feydelins de Nadia Coste) : êtres mignons mais si fragiles…
Pour en revenir aux saboteurs, quitte à en parler, j’aurais aimé qu’ils soient beaucoup plus présents, que l’auteur construise de vraies tensions. D’après nos héros, ce sont des ennemis mais tout le roman montre qu’ils cohabitent plutôt bien.
Dans cette histoire, le rêve côtoie l’horreur que peut avoir le quotidien. De plus, l’auteur ne relie jamais cette femme qui recueille un garnement et cette femme qui tente de récupérer son fils… J’ai vraiment eu le sentiment que l’auteur ne prenait pas ses lecteurs pour des idiots.
L’univers que nous propose Loïs Lowry est fantastique, dans tous les sens du terme, doux, délicat et plein d’espoirs. Tout est fondé autour de la mémoire, de la transmission et de bien-être… Des valeurs que l’on retrouve trop rarement dans la littérature Jeunesse contemporaine