Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Le parcours des " terres d'enfance " proposé dans ce livre, de la banlieue new-yorkaise à Téhéran, de Bagdad à Bakou, de Erevan à Istanbul, de Beyrouth...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 2 octobre et le 11 octobre
En librairie
Résumé
Le parcours des " terres d'enfance " proposé dans ce livre, de la banlieue new-yorkaise à Téhéran, de Bagdad à Bakou, de Erevan à Istanbul, de Beyrouth à Trébizonde, de Paris à Mouch, gomme volontairement l'espace et le temps. Tous les acteurs de ces voyages involontaires, sous une forme ou une autre, ont écrit sur les paysages ruraux ou urbains de leur enfance, retrouvant dans des quotidiens contrastés la marque de leur appartenance multiple : une identité revisitée dont chaque signe est vécu dans le regard de l'autre. Les textes rassemblés dans cette anthologie sont pour la plupart autobiographiques : ce sont des autofictions ou des témoignages, des documents " qui recréent la vie " et réinventent une continuité dans les bribes et les itinéraires. Quel que soit le genre, il s'agit toujours d'un regard sur une enfance réinterprétée, entre souvenirs et rémanences. Si, comme en Occident, l'écolier a été une figure montante de la littérature, les violences et les ruptures qui ont marqué l'histoire des Arméniens au XXe siècle ont assigné à l'enfant une fonction charnière dans la transmission d'une langue et d'une histoire.