Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
L'ambition de cet ouvrage st double : d'une part explorer l'apport de la littérature coloniale à travers les regards et les expériences des écrivains...
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L'ambition de cet ouvrage st double : d'une part explorer l'apport de la littérature coloniale à travers les regards et les expériences des écrivains qui ont utilisé le " monde exotique " et le monde colonial comme sujets d'écriture. D'autre part, croiser les regards et les expériences en étudiant et en comparant les grandes régions colonialisées, et leurs colonisateurs : Indochine, Océanie, Afrique et Maghreb " français ", mais également "Inde " anglaise ". Cette approche est de plue enrichie par l'étude de deux peintres français installés an Algérie et au Laos, qu'il est intéressant de rapprocher de leurs contemporains écrivains. Autour de Jacques Weber, auteur d'une étude approfondie sur " La littérature, une source d'histoire coloniales (1889-1940) ", Henri Copin, Alain Quella-Villéger, Frédéric Angleviel, Alain Ruscio, Nguyên Thê Anh, Yvan Daniel, Alain Tirefort, Alain Rouaud, Claudine Le Blanc et Emmanuel Affidi ont apporté leurs riches contributions à ce grand voyage.