Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Ecrites durant les cinq mois du siège de Paris, de septembre 1870 à février 1871, les lettres que Manet adresse à Suzanne constituent bien sûr un...
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Livré chez vous entre le 28 septembre et le 1 octobre
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Résumé
Ecrites durant les cinq mois du siège de Paris, de septembre 1870 à février 1871, les lettres que Manet adresse à Suzanne constituent bien sûr un témoignage historique de première importance sur les conditions d'existence dans la capitale assiégée, mais elles permettent aussi d'éclairer assez précisément la personnalité du peintre confronté à des conditions matérielles dramatiques et spectateur de la déroute militaire de son pays. Elles offrent aussi de précieux renseignements sur la nature des relations que Manet entretenait avec ses proches : Suzanne, son épouse, ses beaux-frères, sa mère, ses amis.
Manet ne peut cacher la souffrance que cause en lui la séparation d'avec les siens, et c'est comme si la guerre omniprésente passait à l'arrière-plan, laissant au premier l'image du peintre exécutant d'après photographie le portrait de Suzanne sur un petit ivoire : " Que j'ai hâte de te revoir, ma pauvre Suzanne, et que je m'ennuie sans toi. "