Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Où l'on retrouve l'art intranquille de Charles Palliser, l'auteur du Quinconce (Phébus, 1993) - ce roman labyrinthe en cinq volumes qui explora, comme...
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Livré chez vous entre le 27 septembre et le 1 octobre
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Résumé
Où l'on retrouve l'art intranquille de Charles Palliser, l'auteur du Quinconce (Phébus, 1993) - ce roman labyrinthe en cinq volumes qui explora, comme jamais peut-être, les voies du crime, et qui fut un succès mondial.
Dans une petite ville d'Angleterre à la Belle Epoque, quelques messieurs des mieux respectables, sous le regard d'un enquêteur féru d'histoire ancienne, se retrouvent avec un cadavre sur les bras... et doivent avouer au monde les ordinaires turpitudes de la vie.
Un récit féroce, relevé d'un humour plutôt sombre, où Palliser confirme la pente traîtresse de son talent ; et nous rappelle à sa façon, comme Hitchcock hier, comme Wilkie Collins avant-hier, que l'existence est d'abord un mystère - un espace piégé où tout conspire à égarer le chercheur de vérité (un meurtre peut toujours en cacher un autre). Chacun d'entre nous se résume à une énigme, nous chuchote l'auteur, orfèvre en la matière : une énigme qui n'aura chance de s'éclairer à nos yeux qu'autant que nous acceptons de surmonter notre peur du noir.
Où l'on retrouve l'art intranquille de Charles Palliser, l'auteur du Quinconce (Phébus, 1993) ce roman labyrinthe en cinq volumes qui explora, comme jamais peut-être, les voies du crime, et qui fut un succès mondial. Dans une petite ville d'Angleterre à la Belle Epoque, quelques messieurs des mieux respectables, sous le regard d'un enquêteur féru d'histoire ancienne, se retrouvent avec un cadavre sur les bras... et doivent avouer au monde les ordinaires turpitudes de la vie. Un récit féroce, relevé d'un humour plutôt sombre, où Palliser confirme la pente traîtresse de son talent ; et nous rappelle à sa façon, comme Hitchcock hier, comme Wilkie Collins avant-hier, que l'existence est d'abord un mystère un espace piégé où tout conspire à égarer le chercheur de vérité (un meurtre peut toujours en cacher un autre). Chacun d'entre nous se résume à une énigme, nous chuchote l'auteur, orfèvre en la matière : une énigme qui n'aura chance de s'éclairer à nos yeux qu'autant que nous acceptons de surmonter notre peur du noir.