Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Dans le mouvement qui conduit la création artistique à dialoguer avec la recherche scientifique et à recourir aux technologies de l'information et...
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Livré chez vous entre le 2 octobre et le 11 octobre
En librairie
Résumé
Dans le mouvement qui conduit la création artistique à dialoguer avec la recherche scientifique et à recourir aux technologies de l'information et de la cognition, une nouvelle problématique s'est subrepticement dégagée : comment donner un corps aux structures formelles des œuvres ? Comment associer un monde sensible à l'abstraction des modèles ?
Question qui se décline de manière surprenante. Par exemple : que peut-il advenir des différentiations sensorielles et des hiérarchies qu'elles induisent dans le champ artistique ? La domination de l'œil et de l'oreille sur le toucher, le goût et l'odorat se maintiendra-t-elle dans les œuvres du futur ou sera-t-elle remise en cause par la maîtrise possible de ces champs sensoriels ? Le contrôle et la simulation des mécanismes perceptifs sont-ils susceptibles d'ouvrir la voie à des reconfigurations inédites du monde sensible ? Comment l'activité artistique, voire la notion même d'œuvre d'art, pourraient-elles en être bouleversées ?
Ce livre pose des questions de cette nature aussi bien à des musiciens, des chorégraphes, des peintres... des artistes de l'odeur et du goût, qu'à des neuropsychologues, des psychologues, des informaticiens, des sémanticiens, des philosophes. De ce dialogue encore rare entre création contemporaine et sciences de la cognition se dégagent les lignes de force d'un paysage émergent, celui de la culture d'un XXIe siècle où les paroles de Malevich, " l'art est cognition ", commenceront à révéler leur portée prémonitoire.