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70 % des plaintes des usagers à l'encontre des psychologues concernent les écrits que ceux-ci produisent. Cette inflation de litiges est d'autant plus préoccupante qu'elle s'inscrit dans un environnement de judiciarisation croissante. Qu'il s'agisse de psychologues missionnés pour une expertise ou de psychologues libéraux produisant des attestations, leurs écrits sont de plus en plus remis en question.
Les avis rendus par la CNCDP en la matière font apparaître deux types de problèmes : Les écrits sont perçus comme tendancieux car prenant parti ; Le contexte de la production de ces écrits ou leur forme ne sont pas adéquats. Au regard de ces données, la Commission de Déontologie a estimé qu'il était important de traiter la question des attestations lors d'une première journée d'étude déontologie. Elle a souhaité que cette rencontre soit l'occasion d'échanges approfondis sur cette thématique et constitue un espace de formation permettant d'apporter des réponses concrètes en termes d'élaboration et de rédaction des écrits professionnels.