Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Après avoir offert en 1517 au jeune François Ier le premier volume de son Triumphe des Vertuz, constitué des deux traités du Triumphe de Prudence...
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Résumé
Après avoir offert en 1517 au jeune François Ier le premier volume de son Triumphe des Vertuz, constitué des deux traités du Triumphe de Prudence et du Triumphe de Force, Jean Thenaud s'attèle à la rédaction de la seconde partie. Le 28 février 1518, la naissance du premier Dauphin François lui impose d'adapter son projet initial à l'actualité. Au printemps 1519, il présente au roi les troisième et quatrième traités du Triumphe des Vertuz. Aussi, davantage que les deux traités qui le précèdent, le Triumphe de Justice constitue-t-il un miroir des princes, dans lequel l'instruction morale apparemment destinée à l'enfant exhorte en fait le roi lui-même et l'enjoint à s'acquitter avec excellence de sa haute tâche. Ici comme ailleurs, Jean Thenaud recourt à son contemporain Erasme, dont l'Institutio Principis Christiani, sortie de presse en mai 1516, rejoint ses préoccupations. Ayant procuré l'édition du Triumphe de Prudence (TLF, 489) ainsi que celle du Triumphe de Force (TLF, 550), Titia J. Schuursjanssen et René E.V. Stuip donnent maintenant l'édition critique du troisième traité, que viendra compléter celle du Triumphe de Temperance.