Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Le surréalisme de Duchamp à Deleuze : " un couteau sans lame, auquel manque le manche ". Que reste-t-il du surréalisme après un titre pareil, sinon...
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Le surréalisme de Duchamp à Deleuze : " un couteau sans lame, auquel manque le manche ". Que reste-t-il du surréalisme après un titre pareil, sinon ces deux bornes qui jamais, au grand jamais, n'auront été les siennes : Duchamp et Deleuze ? De Duchamp-Picabia à Deleuze-Guattari, il n'y a qu'une seule famille de pensée. Entre les deux, certains surréalistes essaient de faire croire, à grand renfort de cache-misères, de carton-pâte et de poudre aux yeux, que la Poésie de l'Amour glorifie la femme. Mais les surréalistes se moquent bien des femmes et de l'amour, en réalité-et un peu moins de la poésie, comme on le verra. Ce qui les intéresse, Breton en tête, c'est plutôt d'armer des machines de guerre... Lesquelles ? On le saura en parcourant ce petit ouvrage.
Prof de littérature comparée à Paris XIII, Anne Larue a publié une dizaine d'ouvrages, dont, aux éditions Talus d'approche, Le Masochisme, ou comment ne pas devenir un suicidé de la société.