Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
La peinture érotique chinoise, à la différence de la peinture japonaise, popularisée par les estampes, reste un art peu connu. Appelées en Chine...
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La peinture érotique chinoise, à la différence de la peinture japonaise, popularisée par les estampes, reste un art peu connu. Appelées en Chine " images du palais du printemps ", les peintures érotiques présentées dans cet ouvrage invitent tant à la contemplation qu'à l'analyse. Rouleaux peints et feuilles d'albums s'égrainent en épisodes, introduisant le spectateur dans l'atmosphère littéraire de la Chine des Ming (1368-1644) et des Qing (1644-1911) qui est aussi l'âge d'or du roman tandis que l'approche croisée d'études de la littérature et de l'histoire de l'art suscite de multiples questions. Qu'en est-il du nu et du corps érotisé ? Cette définition varie-t-elle dans le contexte de relations hétéro et homosexuelles ? Qui étaient les auteurs et les commanditaires de ces peintures ? Quel type de rapports sociaux sous-tendent ces relations sexuelles ? Quelle place occupent ces œuvres au sein de l'art chinois ? Autant de problématiques qui peuvent nourrir une réflexion esthétique et sociologique.